Séquestration d’un cadre dirigeant dans le cadre d’un mouvement de grève
La licéité reconnue à un mouvement de grève, en soutien à des salariés menacés de licenciement à la suite de faits commis lors d’un mouvement précédent, ne fait pas obstacle à la reconnaissance de la faute lourde du salarié, consécutive à la séquestration du DRH de l’entreprise ayant accompagné ce mouvement de soutien. Cass. Soc. du 2 juillet 2014, n° 13-12562.